AVIS DE DÉCÈS
À LA MÉMOIRE DE Josef Lützen † ÂGE : 29 † PROCHES EN DEUIL : 29 † ENTERRÉ LE : 17/10/2012 † DATE DE NAISSANCE : 20/06/1995 † AVATAR : Emile Hirsch | Sujet: JOSEF ♦ Je décède et te perd de nouveau Mer 17 Oct 2012 - 14:04 | |
| « 1971 – 2001 » JOSEF MAXIMILIAN Lützen ft. Emile Hirsch Josef Lützen, âgé(e) de 30 ans et bisexuel, travaille comme peintre. Il/Elle appartient au groupe Soul Takers. Il/Elle est fiancé et natif de Berlin. |
il était une fois Je suis né dans un monde divisé en deux parties bien distinctes. A l'ouest, il y avait la liberté, à l'est, la prison. Plus communément, ces deux parties étaient respectivement appelées RFA et RDA. Moi, je suis né à l'est. Je n'ai pas connu le déchirement causé par la division de Berlin. Je suis né dans ce monde divisé, je n'ai pas connu ce qu'était la vraie vie et, par association d'idée, la réelle liberté. Mais ce n'est pas pour autant que je n'ai pas connu le bonheur. Vous savez, ce bonheur à l'état pure qu'on vit lors de ces petits moments qui pourraient être jugé de banals. Pour moi, le bonheur, c'était ma famille. J'avais la chance d'avoir mes parents avec moi, et Alicia, ma petite sœur, à mes côtés. Les conditions n'étaient pas toujours faciles mais on était ensemble. Et jusque là, ils avaient toujours suffit à faire mon bonheur. Jusqu'à elle, un jour de fête de 1989 …
« Le mur devrait tomber ». Cette phrase résonne encore dans ma tête. J'étais devant ma télé, ce jour-là. J'avais alors 18 ans. La RDA avait déjà prévu mon service militaire. Mais pourtant, les évènements qui avaient secoué les derniers jours de mon existence en RDA semblaient annoncer un changement de programme. Ce que j'aimais, à l'époque, c'était l'art. Le gouvernement faisait de grands efforts pour égaliser le Berlin-Ouest et de ce fait, nous avions droit à une fantastique scène officielle. Le théâtre et la musique berçaient nos vies. La peinture était pourtant moins reconnue, et c'est ce que j'aimais le plus. Très tôt, je m'étais mis à peindre des paysages, puis ma sœur, puis de parfaits inconnus croisés dans la rue. J'avais même été repéré par un directeur artistique qui m'avait alors proposé d'intégrer son école. J'avais dû refuser : pas d'argent pour financer ces onéreuses études, et puis finalement, le service militaire m'attendait, et à l'est, on ne plaisantait pas vraiment avec ça.
Mais « le mur devrait tomber ». Alicia et moi, nous avons échangé un regard complice. Puis nous sommes allés chercher Peter, mon meilleur ami et accessoirement mon voisin, et nous avons rejoint le mur. Évidemment, nous n'étions pas les seuls à avoir eu cette idée. C'était l'euphorie dans les rues. Personne ne savait quoi faire exactement, et même les gardes frontières semblaient quelque peu perdus. Peter n'a pas attendu une minute de plus, il m'a regardé droit dans les yeux avant de me balancer qu'il allait « franchir ce putain de mur ». Alicia a éclaté de rire, et dés lors plusieurs allemands de l'est ont attaqué ce mur de la honte. J'ai regardé plutôt passivement, me contentant de veiller sur Alicia. Elle n'avait que 15 ans à l'époque et pourtant, elle avait bien plus de fougue que moi, du haut de mes 18 ans. Je lui ai défendu de rejoindre Peter sur le haut de ce mur, et finalement … Je me suis laissé aller à mon tour.
Et si j'avais refuser de défier l'autorité, si j'étais resté ce garçon calme et peu querelleur que j'étais, aurais-je vu ce Berlin Ouest et aurais-je vu ce visage angélique qui allait changé le cours de mon existence piteuse ?
Je suis monté sur le mur et j'ai vu les milliers de berlinois de l'ouest. « Le mur s'est ouvert ». Voilà ce qu'on pouvait désormais entendre à la télévision allemande, ce soir du 9 Novembre 1989. Et moi, moi, le jeune homme calme de l'est est enfin passé à l'ouest. Je me souviendrai toujours du regard émerveillé de ma sœur et du fou rire de Peter. Nous ressemblions à des jeunes gens qui venaient de boire un peu trop d'alcool, et pourtant, bizarrement, nous étions simplement heureux. Autour de nous, des couples se retrouvaient, des familles se recomposaient, des mères retrouvaient leurs fils, des hommes retrouvaient leurs amis perdus. Tout le monde se jetait dans les bras de tout le monde, sauf nous. Nous n'avions personne à retrouver, à l'ouest. Alors quand j'ai vu Alicia se jeter dans les bras d'un homme, je lui ai demandé si elle le connaissait. Elle m'a répondu que non et a éclaté de rire. A mon tour, j'ai serré contre moi ce parfait inconnu. C'est à ce moment là que j'ai compris ce qui se passait : l'est et l'ouest n'existaient plus. Il n'y avait plus que Berlin.
L'euphorie habitait tous les cœurs, ce soir là. J'enlaçais tous ceux qui passaient près de moi, ce soir-là. Nous nous marchions tous sur les pieds, mais nous étions tous liés d'une certaine manière. C'est à ce moment là que je l'ai vu. Elle ressemblait à un ange tombé du ciel. Elle avait de longs cheveux blonds encadrant un visage angélique aux traits parfaits et d'une divine finesse. Elle m'a regardé, je l'ai regardé. On a éclaté de rire. Elle m'a serré contre elle avant de m'annoncer dans un pittoresque allemand qu'elle était fière d'être là ce soir. Bêtement, je lui ai corrigé sa phrase. Je n'imaginais pas que parmi nous, cette nuit là, d'autres nationalités fêtaient ce renouveau. Mais après tout, tous les cœurs battaient à l'unisson. Elle n'a pas comprit mes paroles. Peut-être n'avait-elle pas simplement entendu le son de ma voix, dans le bruit intense du bonheur. Moi pourtant, je l'ai entendu me dire dans un anglais qui ne semblait pas être sa langue maternelle qu'elle ne comprenait strictement rien à l'allemand. De nouveaux rires, puis j'ai pris sa main, et nous sommes partis tous deux fêter l'unité allemande retrouvée. Au loin, un violoncelliste avait entamé une douce musique, symbole de notre rencontre.
Elle s'appelait Kaitlyne et provenait tout droit de Paris. C'était une étudiante bohème qui avait cru en la chute du mur de Berlin. Elle était venue avec une bande de copains et étaient arrivés à Berlin Ouest deux jours avant la chute du mur. Elle s'était mêlée aux festivités sans avoir peur de se perdre dans ce pays duquel elle ne maitrisait même pas la langue. Nous sommes sortis de l'attroupement ; elle a retrouvé ses amis français, j'ai retrouvé Alicia et Peter. Nous n'avons pas réussi à communiquer : nous ne parlions ni anglais et ni français. Eux ne connaissaient que quelques mots d'allemand, et leur anglais ne semblait pas parfait non plus. Pourtant, nous avons réussi à leur faire comprendre que nous voulions leur offrir un verre. Finalement, nous ne nous sommes plus quitter durant des semaines.
Kaitlyne était une personne raffinée et d'une douceur inimaginable. Elle était celle qui parlait le mieux anglais ; j'étais celui qui le comprenait le mieux. Nous arrivions à communiquer plutôt bien ; je lui apprenais des mots allemands, elle m'apprenait un peu le français. Elle avait 18 ans, tout comme moi. Et je suis tombée sous le charme. Le soir de ce fameux 9 Novembre 1989, nous avons trouvé un squat, dans un quartier près du mur, un quartier que les artistes bohèmes s'étaient appropriés. Nous nous sommes tous endormis, les uns contre les autres. Kaitlyne, elle, m'a murmuré un « Guten Nacht » à l'accent français. J'ai souris, j'ai senti que mon cœur venait d'esquiver un pincement, j'ai fermé les yeux, et me suis endormi tout en veillant sur les respirations régulières de cette petite française vagabondant dans un pays inconnu.
Nous ne nous sommes plus quittés durant huit semaines. Huit semaines de pur bonheur. Nous n'étions plus que tous les deux. Ses amis français étaient repartis à Paris : elle leur avait laissé sa voiture pour cela. Alicia et Peter étaient rentrés chez eux. Et Kaitlyne et moi, nous étions encore dans le même squat. Mais il n'y avait plus qu'elle et moi. C'était une évidence. J'étais fait pour lui déposer chaque matin des baisers sur son doux front, sur sa fragile épaule, sur ses fines lèvres. J'étais fait pour veiller sur elle. J'étais fait pour dessiner sur mes toiles d'artiste-peintre chaque partie de son petit corps. Je connaissais sa perfection par cœur et lorsque je fermais les yeux, son sourire s'affichait à moi, tel une évidence. Du moins, Kaitlyne était mon évidence. Mais peut-être n'étais-je pas la sienne. Un matin, on a fortement toqué à la porte. C'était Peter. Il était toujours là pour annoncer les mauvaises nouvelles, ce type. J'ai ouvert, et sans attendre il a crié :
« Le père de Kaitlyne est en ville, il la cherche depuis deux jours. Josef, t'es dans la merde. »
On aurait pu fuir. On aurait pu partir très loin. Mais j'éprouvais le besoin de dire à ce cher monsieur que sa fille était heureuse. Que j'arrivais à la rendre heureuse. Kaitlyne avait en fait quitté la France sans prévenir qui que ce soit. Il aurait suffit qu'elle prévienne ses parents pour que toute mon existence en soit changée. Mais à peine vingt minutes après l'annonce de Peter, trois hommes se tenaient devant le squat. Et ils m'ont arraché mon étoile. Elle a pourtant essayé de négocier avec son père, mais c'en était fini, de notre belle histoire. J'étais planté là, tel un pantin, incapable d'émettre le moindre son ni de faire le moindre mouvement. Ce n'est que lorsqu'elle s'est approché de moi pour déposer un tout dernier baiser sur mes lèvres que j'ai compris ce qui nous arrivait. Je l'ai regardé disparaître sans rien faire, sans broncher, sans pleurer, sans la défendre, sans montrer mon moindre attachement à elle. Je l'ai entendu prononcer en allemand qu'elle reviendrait, qu'elle me retrouverait, et qu'elle m'aimait. Je n'ai pas réagi. La seule chose que j'ai voulu faire, c'est corriger sa phrase. Mais elle est parti avant. Je ne connaissais même pas son nom de famille.
Ma vie a pourtant continué, mais ce d'une toute autre manière. J'ai abandonné la peinture pour me lancer dans une carrière militaire. Tout ce que je détestais avant. J'ai aussi appris le français. J'ai quitté l'armée à 26 ans. Je me suis finalement remis à peindre. Avec Peter, nous avons quittés l'Allemagne pour vivre à Paris. Et c'est dans cette ville que le fantôme de Kaitlyne est revenu à moi. Nous regardions la télévision, dans notre petit appartement parisien. Peter n'a jamais aimé la télé, trop fixé sur son ordinateur et sur son « business ». C'est à la télévision que je l'ai revue, huit ans après notre rencontre. Kaitlyne. Ma Kaitlyne. Elle avait toujours les même cheveux, le même sourire, la même perfection, même huit ans après. Et à cet instant là, je ressentis un profond sentiment de haine à son égard. Pourquoi devait-elle être toujours aussi belle, toujours aussi gracieuse ? ... Pourquoi n'était-elle pas revenue … ? J'ai écouté quelques instants. Un présentateur la questionnait. Bien vite, j'ai compris qu'elle avait réalisé son rêve. Elle était devenu actrice et était apparemment fiancée avec ce jeune chanteur assis à ses côtés. A l'autre bout de la pièce, j'ai entendu Peter me demander pourquoi je regardais ces « conneries sur les people français ». Elle était fiancée et actrice. Elle était heureuse. Fin de l'histoire. J'ai éteins la télévision pour sortir en ville. Ce soir-là, je ne suis pas rentré seul chez moi ; mais en charmante compagnie. Pour la première fois depuis huit ans, l'ombre de Kaitlyne m'avait abandonné.
Et pourtant, les jours qui suivirent, Kaitlyne me hanta. Dans chaque rue parisienne, j'entendais sa voix. Je l'imaginais suivre les bords de Seine. J'imaginais le vent soulever ses cheveux. Parfois, il m'arrivait presque de sentir son souffle chatouiller mon épaule. Mais ce n'était jamais elle ; elle n'était jamais véritablement là. Pendant des semaines, je l'ai cherché. Mais elle était restait introuvable. Puis finalement, Peter a reprit ma vie en main. Il ne supportait plus de me voir errer la capitale française. Il ne supportait plus ma lassitude. J'ai proposé que l'on retourne vivre à Berlin. Mais il savait que dans cette ville aussi, le souvenir de Kaitlyne me suivrait. Après tout, n'était-ce pas la ville de notre rencontre … ?
On déménagea tous deux à Boston. J'y ai rencontré Alice, une jeune américaine de 25 ans. Elle m'a semblé parfaite pour remplacer ma Kaitlyne. Elle n'égalisait en rien sa beauté, ni son intelligence, encore moins son caractère. Comment égaliser la perfection ? … Alice n'avait rien de Kaitlyne : de cette manière, aucune chance que je pense indéfiniment à cette française car j'avais tout son contraire avec moi. Le jour de mes trente ans, Alice m'a annoncé que j'allais être papa. Machinalement, je l'ai demandé en mariage le même jour. L'avenir était tracé. Et techniquement, j'avais tout pour être heureux.
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la raison de mon décès
De son côté, Peter avait déménagé à Los Angeles, et aussi étrange que cela puisse paraître, ce mec me manquait. Et j'avais besoin de lui rendre visite. Mon avion décollait le 11 septembre 2001, de Boston, direction Los Angeles. J'avais embrassé Alice et effleuré son ventre rebondi, avant de grimper dans cet avion qui devait m'emmener vers mon meilleur ami. Je suis monté dans l'avions, me suis installé confortablement. C'est à cet instant précis que j'ai entendu sa voix. Cette voix. Cette voix tombée du ciel, celle qui m'avait chuchoté les plus belles choses au creux de mon oreille. Je me suis immobilisé. Je me suis retourné. Elle était là, deux rangées derrière moi. J'ai vu sa crinière blonde, j'ai vu son sourire. Je l'ai fixé durant 10 bonnes secondes puis, au moment où son regard se dirigeait vers moi, je me suis remis en place. Je suis resté hébété. Elle était là. A quelques mètres de moi. Kaitlyne était là. Je n'ai rien pu faire. Je me suis immobilisé, comme étant handicapé par ce souvenir redevenu réalité. Car j'ai aussi vu l'homme qui devait désormais être son mari la regarder amoureusement. Et j'ai compris qu'il fallait mieux que je meurs ici et maintenant plutôt que de vivre une existence loin d'elle. Car c'était elle. Elle, et personne d'autre. Ce n'était pas Alice, ce n'était pas ces filles que j'avais ramené dans mon lit, non, c'était Kaitlyne. Mon existence se résumait à elle. J'ai entendu une petite voix demander sa maman. Et c'est bel et bien Kaitlyne qui a répondu à cet appel. Elle avait fait sa vie loin de moi, mais surtout sans moi. L'instant d'une seconde, je me suis demandé si elle aussi faisait semblant, dans la nouvelle vie qu'elle s'était forgée. Car moi, tout était mensonge. Je ne voulais pas épouser Alice, et je n'avais pas envie de cet enfant. Tout ce que je voulais, c'était Kaitlyne et son bonheur. J'aurais voulu un enfant de Kaitlyne, et non pas d'Alice.
Mais plus rien n'avait désormais d'importance. L'appareil fut détourné à 8h14. Nos destins était scellés. On allait très certainement mourir. J'allais mourir avec elle. Délicieuse idée. Je m'étais fait à cette idée. Peut-être aurais-je pu me lever pour mieux la regarder. Elle m'aurait vu, et alors ? Nous partagions nos dernières minutes de vie. Mais je n'ai pas bougé, de la même manière que je l'avais précédemment fait, un jour de 1989, quand son père était venu me l'arracher. Et ce douloureux souvenir me revint brusquement en mémoire. L'avion approchait des deux tours. Je n'avais pas bougé. Je l'avais regardé partir. Je fermais les yeux et l'imaginais, deux rangs derrière moi, tenant fermement son enfant près d'elle, elle-même blotti contre son époux. Cette image me fit mal, mais si cet homme avait su la rendre heureuse, c'était le principal.
La tour se rapprochait dangereusement. Je prononçais mes dernières paroles, tout bas, certes, mais au moins, mes dernières paroles auront été pour l'amour de ma vie, et non pas pour celle qui m'avait servi à essayer de l'oublier. « Je suis désolé, Kaitlyne, de ne pas t'avoir retenu, ce jour-là. Je suis désolé de ne pas être parti à ta recherche après ton départ … Je suis désolé de ne pas avoir pu faire ton bonheur. Je suis désolé d'avoir été si fou amoureux de toi. Je suis désolé de savoir que ta vie s'arrête ici, en même temps que la mienne, moi, le pauvre peintre que tu as un jour aimé ... » Les larmes ont coulées, et la vie s'est arrêtée.
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la vie après la mort Le jeune homme a découvert cette seconde chance avec lassitude. Il était dépité de devoir subir les souvenirs de cette vie passée une nouvelle fois. Il aurait préféré que tout s'arrête: ainsi, fin de l'histoire et plus de Kaitlyne. Pourtant, il allait devoir rejoindre cette nouvelle vie en sachant qu'il a de nouvelles chances de croiser la française. Mais il n'en a pas envie. Il préfère la croire heureuse avec son mari et son enfant. Il n'a pas envie d'être un déchet et de polluer sa nouvelle vie.
Il fait donc très attention à ne pas la recroiser. Il sait que s'il croise une nouvelle fois son regard, il ne pourrait plus se défaire d'elle. Il a quelque peu abandonné la peinture, étant donné que sa main semblait à chaque fois vouloir reproduire le corps de Kaitlyne. Et que les autres modèles n'étaient jamais assez belles, aux yeux du jeune peintre, pour faire une œuvre d'art. Finalement, il est devenu professeur de mathématiques au Skyline. Il aurait souhaité un meilleur dénouement, mais c'est tout ce qu'il semble capable de faire. Bien des fois, il a cru reconnaître le visage de la française, et à chaque fois, il s'est timidement caché. Le monde est instable. Les maths, par contre, c'est déterminé et carré. On peut pas tellement être surpris, en mathématiques. C'est ce qu'il recherchait. La vie lui a joué assez de mauvais tours comme ça. Il s'est lassé du suspens.
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& ce que je suis Physiquement, Josef est ce qu'on appelle un beau garçon qui pourrait charmer beaucoup de jeunes femmes. Malgré cela, il demeure un homme timide et inlassablement romantique. Il est tendre et généreux. Il s'attache beaucoup trop vite et est un grand rêveur. Il est influençable, parfois trop naïf. Josef n'est pas un grand bavard. Il préfère écouter, regarder, analyser, rêver. De cette manière, il est extrêmement sensible sur le monde qui l'entoure et comprend ce que beaucoup de personnes ne voient même pas. Cependant, Josef n'est pas parfait : il a tendance a idéaliser beaucoup de gens, et se rabaisse inévitablement en devenant un très grand jaloux du genre possessif. Sa jalousie pourrait même le faire devenir violent, malgré son caractère plutôt pacifiste et diplomate.
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derrière l'écran Plus personnellement, je m’appelle Juliette, j’ai 17 ans. Je vis présentement en Fraaaance. J'aime NATALIE PORTMAN et les donuts et je déteste Selena Gomez et Mila Kunis et les haricots verts. Mes séries préférées sont Smallville, Vampire Diaries, Desperate Housewives et les célébrités que j’aime sont Natalie Portman, Emile Hirsch, Liam Neeson, Georgie Henley, Hayden Christensen, Ewan McGregor, Ben Affleck, Orlando Bloom .... J’ai découvert le forum parce que j'y suis modo (a). Ce qui m’a poussé à m’inscrire, c’est que j'aime ce forum. Finalement, je serais présent(e) :4 /7. Sinon, je souhaite ajouter : que je vous aime. PRÉSENTATION TERMINÉE : OUI [X ] NON [ ]
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Dernière édition par Josef Lützen le Dim 21 Oct 2012 - 12:01, édité 7 fois |
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